Nous apporter vos témoignages

Nous communiquer un témoignage

 

En vous servant des modèles proposés ci-dessous, vous pouvez nous faire parvenir vos témoignages nominatifs et attestations par mail à contact@baclohelp.org puis par courrier à cette adresse (nous avons dans tous les cas besoin de la version papier) :

COLLECTIF BACLOHELP
Coordination : Thomas MAËS-MARTIN

23  RUE MARIE STUART
75002 PARIS

 

Modèle d’attestation nominative d’utlisateur (avec notice) (pièce di’identité indispensable)

Modèle d’attestation nominative de proche d’utilisateur (avec notice) (pièce d’identité indispensable)

Modèle d’attestation de professionnel de santé (avec notice)

 

 

Le Conseil d’Etat a annoncé, dans son ordonnance du 28 février,  le traitement de notre recours en urgence par son organe collégial.

Soyons clairs : le baclofène joue maintenant sa SURVIE.

Des ayatollahs de la culpabilisation alcoolique, des professionnels de santé n’ayant jamais prescrit de baclofène (ou l’ayant mal prescrit), de bien vils egos préférant jouer contre leur camp plutôt que de défendre les malades et une administration plus préoccupée par sa propre protection juridique que par la maladie alcoolique sont en passe d’avoir la peau du baclofène.

Si nous voulons conserver à chacun le droit de soigner la maladie alcoolique, de la soigner avec ce qui est à l’heure actuelle le seul médicament ayant fait ses preuves, c’est le moment où jamais de faire prendre conscience, à la justice, du nombre de vies que ce médicament a sauvées.

C’est le moment où jamais de convaincre la justice de l’efficacité et de l’innocuité du baclofène chez vous, vos proches, vos patients, afin qu’elle n’enterre pas cette chance thérapeutique.

C’est le moment où jamais de faire savoir à la justice que depuis la décision de l’ANSM d’interdire les doses hautes, vous ne pouvez plus vous soigner ou rencontrez des difficultés à obtenir vos médicaments.

C’est donc LE MOMENT OU JAMAIS de nous faire parvenir votre témoignage nominatif de patient, de proche de patient, votre attestation de médecin prescripteur (ou non), de pharmacien, de femme ou d’homme de science (chercheur, psychothérapeute, autre professionnel de santé).

Aucun témoignage ni attestation ne sera rendu public, ni dans la presse, ni ailleurs.  Rien ne sortira du bureau du juge (secret de l’instruction).