Qui sommes-nous ?

Date de création du Collectif :
11 août 2017.

Initiative du collectif :

Thomas, Pat., Gontran, Mary, Lili, Ren, Gaëlle, d’autres qui souhaitent rester non cités et tous les anonymes.

Coordination :
Thomas MAËS-MARTIN (1)

Fonctionnement :
Exclusivement bénévole. Dons acceptés pour faire face aux divers frais (copie, envois de recommandés et autres envois, déplacements si besoin, bureautique, frais divers non luxueux…)

Charte politique :

Le collectif accueille et s’adresse à toutes les personnes tolérantes,  désintéressées, de bonne volonté, concernées de près ou de loin par le baclofène (patients, proches, médecins, pharmaciens, chercheurs) et  conscientes de l’importance de faire revenir les autorités sur les plafonds de prescription (décidés en juillet 2017 par l’ANSM sur la base d’une étude scientifique décriée par la communauté scientifique pour ses biais et l’anonymat de ses auteurs) en raison du danger dans lequel elles placent les usagers risquant de retomber dans l’addiction (à l’alcool, notamment).

Nous avons en commun la connaissance du fonctionnement du système décisionnel sanitaire en France et en Europe, dans ses aspects nobles et moins nobles, et sommes lucides quant à la nécessité d’envisager toutes les voies d’action, y compris de droit, pour permettre aux personnes qui souffrent d’une addiction de continuer à se soigner efficacement.

Pourquoi créer un collectif sous forme associative ?

 – des associations de patients d’un côté existent déjà (et elles sont presque toutes les bienvenues), ainsi que des groupements de médecins, mais pas encore de rassemblement d’aidants et de proches (et le Collectif a permis d’accueillir ces derniers) : or il a été aisé de constater que le narcissisme pathologique et sectaire de l’une nuisait au combat collectif et neutralisait les actions bénéfiques des autres associations, c’est pourquoi nous avons jugé nécessaire de grouper les forces bien intentionnées
pour avoir plus de poids dans les démarches que nous entreprenons tout en gardant moins de formalisme et plus de liberté et d’efficacité dans notre action par la rédaction de statuts souples
– parce que les procédures contentieuses passées et à venir (Tribunal Administratif, procédures pénales, négociation avec l’agence du médicament), si elles ne nécessitent pas d’avoir la personnalité juridique pour agir (chaque personne qui souhaite rejoindre le collectif pour faire bouger les choses sera guidée et accompagnée par le collectif pour accomplir les démarches utiles), se sont révélées plus efficaces sous cette forme.

Création du site web :
Merci à Jean

Hébergement :
OVH

Réseaux sociaux :
Gaëlle GUISNET
(un grand merci à elle pour son extrême disponibilité et sa précision)

Relectures, corrections :
Maryse, Gaëlle, Gontran

Design, logo :
Merci à Leslie,  WNP

Remerciements particuliers à :
– Olivier AMEISEN (+)
– l’association RESAB avec Patrick et Sibel de LA SELLE
– l’association AUBES avec Marion, Alexandra et Bernard
– l’association MG ADDICTION
– tous les scientifiques qui ont fourni les argumentaires (notamment – mais pas seulement – Renaud DE BEAUREPAIRE,  Bernard GRANGER, Catherine HILL, Philippe JAURY, Didier SICARD, Amine BENYAMINA, Olivier COTTENCIN, Philip GORWOOD, Philippe GRUNBERG, Christophe LANCON, Jean-Roger LE GALL, Benjamin ROLLAND, Nicolas SIMON, Florence THIBAUT)
– la revue Le Flyer
– Yehudi PELOSI et François SUREAU pour leur aide inestimable et gracieuse dans le noble combat qu’ils partagent avec nous
– tous les signataires de la pétition
– toutes les personnes qui nous ont adressé leur témoignages, anonymes ou nominatifs
– ORDI CALL et Patrick GIAMBERARDINO pour l’aide informatique en urgence et sans compter ses heures!

(1) Parce que la question est légitime, le coordonnateur précise
qu’il n’est pas médecin, qu’il exerce notamment dans l’étiopathie (qui n’est pas une forme de médecine), la relaxation, la défense politique des plus démunis, le droit public (Doctorat – en pause longue pour faire tout le reste!),
qu’il est pour la liberté de culte, la liberté d’union et de choix, la liberté de conscience, 
proche de personnes souffrant ou ayant souffert de l’alcoolisme et qu’il envoie ses meilleurs sentiments aux personnes perturbées d’une certaine association qui aura tout essayé pour nous arrêter ; ).